DVD She shoots straight
Universe

image

Très bonne image, peu de défauts sur le master (quelques poussières), netteté très acceptable, et compression correcte. Même si sur les plages sombres, les défauts de compression sont trop apparents. C'est gênant lors du générique, mais moins ensuite, donc pas de soucis pour l'image. On apprécie aussi les couleurs très bien rendues et surtout la netteté impressionnante pour un Universe peu récent. Un double couche aurait été le bienvenue pour tenir cette netteté avec une bonne compression. Par contre certains passages sont plutôt sales (poussières) et un peu surexposés.

son

Déception au niveau du 5.1, en effet les arrières restituent les voix et les bruitages... C'est dommage, le son était puissant et clair. C'est à se demander si le remixage ne constitue pas à mettre la piste mono (ou stéréo ?) d'origine sur toutes les enceintes... Autant mettre une piste mono ou stéréo dans ce cas. C'est dommage, un bon remix aurait été le bienvenu sur ce film.

sous-titres

Qualité plutôt correcte ici aussi pour un Universe Laser, avec très peu de passages où les sous-titres sont trop rapides. Sinon anglais correct (avec toujours quelques fautes et traductions approximatives, comme lorsque Joyce emprunte la moto d'un civil en lui lançant un "CID, may I take your car ?"), police de bonne taille, on fait avec sans problème.

bonus

C'est un peu maigre pour les portraits, il manque tout de même Joyce Godenzi, pourtant rôle principal ! Sinon les bandes annonce habituelles sont là, sans sous-titres. Classique. Il faut comme d'habitude éviter de regarder la bande-annonce avant le film... Mais par contre après il faut, juste pour l'image finale.

presentation

Les menus classiques, avec des fonds assez réussies. Sinon on connaît la musique, 9 chapitres en vignette animés, chinois et anglais pour tous les textes, déplacements faciles.

rapport qualité/prix

Pour le tarif, c'est un DVD d'excellente qualité. Les fans de Police Story féminin peuvent l'acheter les yeux fermés. Pensez ensuite à les ouvrir pour regarder le film quand même, mais ça m'étonnerait qu'il vous endorme...


01 janvier 1970
François | ses autres critiques Photos non contractuelles.
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