Barbare y a pas
Faut vraiment aimer John Huston, ze Duke et le ciné Japonais pour s'empiffrer ce machin. C'est lent, surrané comme on dit - traduire : périmé - et proprement imbouffable. Je sauverais trois choses : l'intention palpable de pondre un truc pacifique, respectueux et joliment folklorique avec John Wayne au Japon, un très joli passage où notre héros se met dos à un canon pour, diplomatiquement, l'empêcher de faire feu, et une très (très) belle scène de tir à l'arc à cheval. Le reste relève de la sieste pour cinéphile déjà mort - de quoi être inquiet pour mon sort.
Sinon, pour voir un barbare *BIIIP* une geisha, c'est ailleurs que ça se passe : Kawajiri, tout ça...