Cloclo : « C’était l’annéeeeeuh – tinlinlinlin - quatre-vingt-douze ! ! »
En mille neuf cent quatre-vingt-douze,
Les bons films se téléscopaient,
C'était une putain d'partouze,
Le ciné HK explosait !
J’ai la banane de partout ! J’ai pris un panard intégral ! Dans la série « il n’est jamais trop tard pour bien faire », ayé j’ai vu Swordsman II. J’ai un mot d’excuse, en son temps mon DVD import était foireux et, du coup, j’avais laissé tombé l’affaire. A raison, parce que découvrir une perle comme celle-là via le DVD qui vient de débarquer dans l'Hexagone revient à se prendre pour un privilégié honteux de l’être à ce point. Qualités visuelles et sonores de folie, sous-titres français... Ce bijou n’a pas vieilli d’un poil. Ca bouge tout le temps sans oublier de rester lisible, Jet Li est frais comme un gars dont le gardon est frais comme Hugues Aufray, sa binôme des OUATIC, Rosamund Kwan
, est de la partie, c’est beau à en pleurer, la musique de Romeo Diaz et James Wong a la pêche… Rhaaaaa ça fait du bien !
Mes camarades ont raison :
Brigitte Lin Ching Hsiaaaaarghl nous offre là l’un des vilains les plus mémorables du ciné mondial. Avec son ambiguïté sexuelle qui n’en est finalement pas une, son existence propre et sa liberté de choix en font une sorte de martyr gay comme on en voit que très rarement. Etirer le « champs de l’emprise » de
The Blade revient ici à obtenir une ouverture d’esprit politique beaucoup plus encline à la nuance. L'ouverture d'esprit sexuelle semble favoriser une vision du monde tout sauf manichéenne.
« Méchant réussi = film réussi » lit-on souvent. Le vilain l’est tellement qu’il – elle – en devient un véritable héros tragique au même titre que le guerrier poète Lingwu Chung (Jet li) et ses compagnons d’armes. Le scénario possède une richesse thématique monstrueuse sans oublier de conserver la simplicité inhérente à tout bon feuilleton d’héroic fantasy qui se respecte, les combats sont nombreux et de qualité, les instants de poésie ne sont pas en reste : c’est du
Tsui Hark pur jus ce film là ! Il y a tout là-dedans ! En voyant cette péloche j’avais l’impression de découvrir un vieux-nouveau film en même temps que j’avançais en terrain connu. Tout est là, comme par exemple le jeu amoureux sexuel masqué « sous l’eau » lors d’une rencontre mémorable entre notre héros heureux de vivre et la vilaine Asia l’Invincible, jeu que l’on retrouve dans
Green Snake avec son moine tout autant gêné de se découvrir un désir pour une femme, bêtement, au milieu d’un lac.
The Blade s'invite aussi, en masse. Certains plans y font écho, comme cette femme qui, les yeux brillants, épie au travers d’une palissade en bois, comme la photographie nocturne qui joue parfois des mêmes fameuses teintes rouges, comme ces épées, bien sûr, comme ces costumes, mais aussi via cette rage et ce prégnant champs de l’emprise avec ces femmes qui désirent cet homme qui désire cette pseudo-femme, un homme castré - joué par Brigitte - l’étant devenu pour posséder les pouvoirs de Kung Fu formidables du « Canon du tournesol » évoqué dans le premier volet. Simple prétexte tordu histoire de contourner l’évidence même ? Et un paradoxe : un homme détruit son kung fu en se coupant un bras tandis qu'un autre, plus tard, invente un nouvel art martial pour palier ce même membre coupé. Dans The Blade, évidemment, mais ce héros y subit l'amputation de force contrairement à notre invincible Asia et son ex-stouquette qu'elle choisit elle-même de... bref.
D'un point de vue narratif c'est une vraie suite. Si pour (tenter de) tout comprendre il est nécessaire de regarder le premier opus, jamais je n’ai vu deuxième volet enterrer à ce point son prédécesseur. Swordsman 2 n’est pas le brouillon d’un autre film, il est puissant tel qu’il est, il se suffit, même si lui aussi se nourrit de ceux d’avant en même temps qu’il nourrit les suivants. La filmo toute entière de Tsui Hark sert l’adage « nulle progression n'est possible sans une régression préalable ». Avec de sacrés bas – son dernier
Missing est paraît il le pire des pires – et des hauts qui tutoient les Dieux. Tranquilles pénards, Tsui Hark, ses comparses et quelques Dieux se boivent une bonne bouteille tout en se baladant ,en rigolant, sur la cime des arbres, de préférence au ralenti et dans de grands costumes flottants. L’ivresse repose les âmes, noie le pourquoi du comment qu’on se met sur la gueule et permet de faire l’amour en oubliant tout des normes et autres bassesses résultant de la vie sur terre. La fin est belle à en pleurer avec son bien bel au revoir et enfin - enfin ! - une autre chanson que le leitmotiv musical de la série s’envole, émouvante, pour finir par se mélanger subtilement à ce poème récurrent de l’œuvre, cette belle leçon de vie de deux philosophes entendue dans le premier Swordsman.
Cette même année 1992 sortait le remake tout aussi décapant de
L’auberge du dragon. Entre les deux mon cœur balance, avec un champs de l’emprise qui se complique puisque la belle
Maggie Cheung entre dans la danse et que Brigitte Lin, l’éternel(le) androgyne, s’en mêle encore. Que tout ceci est troublant et galvanisant !
Un pur délire HK
Hormis le rythme de l'histoire assez particulier (au hachoir), quelques lenteurs bien soporifiques et beaucoup de combats de nuit un brin trop obscurs, le reste est une pure merveille qu'il ne faut surtout pas manquer.
L'histoire souvent taxée d'incompréhensible est finalement loin d'être inextricable une fois que l'on a compris qui est qui. "Swordsman 2" fait suite au premier du nom avec la même frénésie du début à la fin, mais en mieux, avec des combats titanesques, un casting de rêve et un duel final que l'on espérait même pas. En effet, le film semble se terminer sans que le duel tant attendu entre Brigitte Lin, divine et le mot est faible, et Yen Shi Kwan (le méchant ultime, j'adore ce mec) n'ait eu lieu, le générique de fin fait mine d'approcher et puis ça repart, comme si ching Siu Tung voulait nous dire : "vous ne pensiez pas que j'allais terminer sans le combat que tout le monde attend".
1h50 de bonheur, de chorés frappées à coups de bobines de fil à coudre, de soulèvement de terrains, d'absorption d'énergie par les paumes, de sectionage X-Or, etc, une ambiance fantastique et frénétique du spécialiste en la matière Ching Siu Tung et une galerie de personnages cultes.
J'était déjà fou de Brigitte Lin avant mais la voir dans la peau du célèbre personnage de l'androgyne que l'on retrouvera dans l'animé Ninja scroll avec la même froideur, doublé du charme de l'actrice, c'est royal. Ajoutez Jet li dans un vrai bon rôle de Drunken master, Rosamund Kwan et le colossal Yen Shi Kwan visuellement proche du rôle de l'empereur qu'il interprète dans Iron Monkey : royal, je vous dis.
Plus sérieux que le 1er mais aussi plus terne
Point commun avec le numéro 1, la chanson, sinon pas grand'chose avoir. On troque le mélange des genres qui faisait l'intérêt du premier, pour une ambiance plus sombre (et une image aussi d'ailleurs) que le personnage joué par Jet Li n'arive pas vraiment à égayer faute d'un développement suffisant. Aux conflits externes succèdent les conflits internes à la secte, la chorégraphie des combats reste quand même interessante grace à au nombre important d'intervenants. Le véritable intêret à mes yeux de ce film vient du personnage joué par Brigitte Lin et à un final d'une belle intensité. Un film à voir mais pas impérissable.
Le meilleur film de Ching Siu Tung après Duel to the death
Ce film est tout bonnement géniale, c'est vrai que au début j'ai eu un peu de mal à comprendre qui est qui dans l'histoire car il y a pas mal de personnage dont un qui n'est pas une femme mais un homme si j'ai bien compris. Si vous aimez les chorégraphies un peu "folles" ( perso j'en raffole ) alors ce film est fait pour vous, de plus la musique est fort bien sympathique.
Un film trop f(l)ou
Le cœur accompagnant ma note est pour les chorégraphies complètements folles un peu plus lisibles que celles du premier (les plus abouties de Ching Siu-Tung ?) et l'atmosphère générale. Le scénario nébuleux et le rythme (tout de même un petit poil - logiquement divisé en dix, nous sommes dans un wu xia pian Workshop année 1991, le contraire eu été contre nature - éreintant) ne font que diluer les qualités de cette (fausse ?) suite. Le casting est impeccable notamment en distillant quelques scènes comiques pas désagréables.
Un film qui ne ressort pas tant du lot que ça.
Avec sa réputation culte, son casting plus ue réjouissant, son réalisateur loin d'être un amateur, on ne pouvait que s'attendre à un déluge totalement fou, un "Evil cult" en plus fou encore.
Et bien le résultat n'est pas à la hauteur de mes espérances. Le scénario, pas vraiment compliqué, mais plutôt mal exposé, peine à nous faire nous attacher aux personnages, les enjeux restent très flous finalement, bref, la tension dramatique n'atteint pas des sommets.
Malgré tout, la relation entre les personnages de Jet et Brigitte reste intéressant, même si tout son potentiel n'est pas exploité, c'est l'aspect le plus intéressant de l'histoire.
C'est l'un des principaux reproches que je fais au film : le manque d'implication du spectacteur, la faute à un scénario trop peu écrit (qui doit conserver trop peu d'aspects du roman sans doute, mais "evil cult" ou "sword stained with royal blood", tout en usant de raccourcis réussissaient à nous accrocher). C'est vraiment dommage que l'interaction entre les différents personnages restent si molle.
Les acteurs font tout ce qu'ils peuvent et s'en sortent très bien pour la plupart, par contre je suis un peu déçu par Rosamund, qui n'a pas l'air des plus inspirées. Jet est très bon, et Brigitte est tout à fait à l'aise.
Le rythme m'a également un peu déçu. Il y a peu de réels affrontements (les quelques duels aus sabres sont excellents par contre), souvent dans le noir, ce qui fait qu'on ne voit pas tout, et le final est décevant. Mais encore une fois, "evil cult", sans être un déferlement de combats, possédait un rytme incroyable, jamais ça ne retombait, ce qui n'est pas le cas ici.
Le film se conclue sans qu'on se dise "et la suite", mais malgré tout on reste sur sa faim, on a l'impression d'avoir manqué quelque chose, dommage.
Bref, un film à voir, mais pas forcément en priorité, et pas forcément à revoir, car finalement pas assez fou, et décevant avec une telle équipe.
Pas forcément meilleur que le premier opus, juste différent.
J'ai un peu moins aimé
Swordsman 2 parce qu'il est moins bien rythmé que le premier opus. Comme le souligne l'avis de Jeffy, ici l'intérêt du film est surtout dans le personnage unique d'Invincible Asia joué par Brigitte Lin et dans l'étincelant final. Le reste est parfois un peu mou là où les complots politiques et les incessantes ruptures de ton du premier permettait de maintenir constamment l'intérêt. Cela dit, c'est tout de même bourré de séquence jubilatoires et rien que pour le plan merveilleux avec Jet Li et Brigitte Lin volant dans les abres (probablement du à Tsui Hark) c'est à voir absolument...
il faut une VOSTF car le scenario est compliqué (dans mon cas)
j'ai rien pigé (ou presque) au film qui est evidemment en VOSTA. pour certains films le scenario est presque dérisoire ,ici dans swordsman 2 on est perdu si on comprend pas bien l'anglais ( c'est mon cas). bon les combats(ce qui reste le plus important) sont toujours filmés dans l'obscurité et assés brouillons, sauf le combat final qui est grandiose.film difficile a juger . dans mon cas il faut voir ce film en VOSTF . je vais mettre 3 pour le combat final
Une excellente production Workshop, typique de l'âge d'or du ciné HK, et un bon moment en perspective entre combats à la Ching Siu Tung où les héros possèdent des supers pouvoirs et en un mouvement déchirent des chevaux ou des montagnes. Malgré quelques longueurs ce wu xia pian fait figure de référence dans le genre et offre son lot de scènes originales et impressionnantes.
Totalement dingue
Swordsman II, avec ses combats démentiels, ses nombreuses trouvailles visuelles et le côté complètement hystérique qui se dégage du film, constitue un renouveau du Wu Xia Pian. Face à un tel film, le spectateur se prend une claque visuelle, c'est indéniable et il est un fait certain que les avis seront partagés et tranchés, je suis un de ceux qui, vu la rupture qu'oppère ce film avec les normes et les ingéniosités qu'il comporte, en ont un avis fort favorable.
Un vrai bon rôle pour Jet Lee. Scénario un peu obscur.
Un bon film de sabre
Jet Li joue ici un personnage qui contraste fortement avec ces autres rôles: Wong Fei-Hong le vertueux, Fong Sai Yuk l'innocent idéaliste etc. Dans ce film il devient un sabreur qui a un fort penchant pour l'alcool et les femmes. Le scénario est assez compliqué ce qui est renforcé par le fait que le vcd ne comporte pas de sous-titres!
Ici les scènes d'action sont impressionnantes de beauté et de grâce, on a l'impression d'assister à un ballet mortelle. les acteurs sont des habitués des cables et cela s'en resent dans la légèreté de leur mouvement.
Swordsman 2 est un film surprenant et très esthétique, qui comblera les amateurs de Wu Xia Pian.
pire que le premier opus
je m'attarde pas sur l'intrigue, d'autres critiques ont aborder la fait que c'etait incomprehensible, et de toute facon j'ai pas regardé le film en m'attendant à voir un scenario.
Mais meme les choregraphies ne sauvent pas ce film, vraiment trop surestimé.
Histoire de Sword Man
Sword Man 2 est un film basé sur la littérature d’art martial chinoise, il s’agit du livre « Proud and Laughing Wanderer » écrit par Jing Yong (Louis Cha), un écrivain chinois contemporain, le roman a été écrit dans les années 70s.
Le livre possède en tout plus de 2500 pages, c’est pourquoi il est difficilement transposé à l’écran.
L’histoire commence par la famille Lam, qui vit grâce à la protection du transport de biens, elle a été massacrée par un clan d’art martial, car la légende raconte que les Lam devenaient puissantes grâce à un sacré volume, ce volume contient une technique de combat à l’épée, et un ancêtre de la famille l’a utilisé pour construire sa fortune.
Le problème est que lorsque les clans adverses attaquent la famille Lam, ils découvrent que les Lam ne sont pas forts du tout en art martial, et ils ne comprennent pas pourquoi, mais tous les écoles d’art martial partent toujours à la recherche de ce livre .
Les personnages du romans sont divisé en deux : le bien et le mal, le bien est présenté par l’école Hua San réputée pour le maniement de l'épée (en fait en Chine il existe une
montagne Hua San, ça prononce aussi Wa Shan en mandarin, mais je ne sais pas s'il y a une école d'art martial dans cette région), Shaolin, Wu Dang (une école d’art martial à l’origine du Tai Chi) …, avec le chevalier ivre Ling Hu Chong (Jet Li), le mal est présenté par la copine de Ling , Doanh Doanh (Rosamund Kwan), et « Invincible East » (Lin Ching Hsia ) un homme qui a eu l’occasion d’apprendre cette technique de combat à l’épée, et Invincible East qui n’est autre que l’oncle de Doanh Doanh
Mais pourquoi l’ancêtre de la famille Lam était si fort, si respecté par les autres écoles, mais enfants sont si faibles, et si mauvais en art martial, tout simplement car la première phrase du sacré volume dit : « celui qui veut pratiquer cette technique de combat doit se castrer, car pendant les séances de méditation, d’entraînement si le pratiquant pense au sexe, sont énergie interne (Qi Kong) sera incontrôlable et il sera mort », c’est pourquoi des générations passent et la famille Lam n’ose plus pratiquer cet art martial.
L’oncle de Doanh Doanh (Rosamund Kwan), était le bras droit de son père, mais il a renversé son père pour prendre le pouvoir, le père de Doanh Doanh a su que son pouvoir était menacé c’est pourquoi il lui a donné le volume sacré, et « Invincible East » a été obligé de se castrer pour pratiquer cette art martial, car le père de Doanh Doanh est très fort en art martial.
Et c’est qui Lin Hu Chong (Jet Li), c’est un chevalier qui aime boit de l’alcool, mais au début de l’histoire, il n’était pas fort du tout, et par chance il a appris que dans les art martiaux, lors d’un combat il faut agir selon ses sentiments, c’est à dire agiter son épée dans tous les sens, dans les duels il a finir par dégoûter ses adversaires, car ils essaient de savoir quelle technique de combat qu’il utilise pour lui contrer ( c'est un ancien maître de Hua San, qui l'a appris que les art martiaux sont tellement vastes, lors des duels il faut agir selon la situation, oublie la technique, les experts de Kung Fu lors des affrontements ils ne se demandent jamais quelle technique utilisent ses adversaires).
Lin a été chassé par son maître car il est tombé amoureux d’une fille de clan adverse.
Différences principales entre Sword Man II et le roman
Dans le roman, « Invicible East » est un homosexuel, et pas très beau à voir, laid en plus, et Lin n’est pas tombé amoureux de « Invicible East » du tout.
Le père de Doanh Doanh est mort dans le livre, il était mort de joie, car il a écrasé le clan du bien (les écoles du clan du bien s’entretuent pour le livre)
Lin épouse Doanh à la fin du roman
terrible! et culte!
l'histoire est certes compliquée au 1er abord ,mais bon qd on s'arrete plus d'une fois sur le 1 puis le 2 tout est clair ^^
comme le 1 je trouve par contre la musique trop omnipresente et lourde à la longue.
subjectivement cultissime :D
Meilleur que le 1er
Je n'avais pas compris grand chose au premier même s'il était bien foutu. Je trouve celui çi beaucoup plus fluide, plus delirant et nettement meilleur. En plus il y a une star dans
Sworman 2 (Jet Li en pleine forme). Ce qui manquait un peu dans le précédent.
A voir et à revoir sans concession.
COMPLETEMENT DEMENTIEL
On ne comprend pas toute la trame de l'histoire vu tous les personnages impliqués dans cette histoire abracadabrante.Il faut s'accrocher mais quel bonheur quand meme. Il y a de la vengeance dans l'air, un Jet LI qui ne sait plus ou donner de la tete avec ces 3 femmes qui s'éprennent de lui, petit veinard, va! De super scènes de combats, les ninjas dans la foret, le repaire de Brigitte Lin(superbe actrice, une présence folle à l'écran), un prisonnier relaché plutot sanguinaire aussi, un final hallucinant, des crochets démesurés contre de simples fils de soie. Un sacré ovni que ce film.
Compliqué...mais démentiel!!!
Non seulement l'histoire est très complexe (alliances/mésalliances, nombreux personnages - dont un hermaphrodite!) mais en plus, j'ai vu ce chef-d'oeuvre en VOSTA! Au secours! Les sous-titres sont bourrés de fautes et oublient régulièrement des phrases!
Et malgré ça...ah lalalala, mais QUELLE CLAQUE!!!
Une histoire d'amour multipliée par 3, des combats multiarmes les + impressionnants que j'ai jamais vus (Jet Li fait enfin autre chose que du close-combat!) mélangeant les techniques chinoises (Wu-Tang) et japonaises (Ninja), un côté GORE très prononçé (jouissif et étonnant!) et des personnages qui n'hésitent pas à se mettre sur la tronche en détruisant tout le paysage à la ronde!
Et à la fin, c'est carrément la guerre nucléaire tellement ça fight de partout!
Rahhhh, oui, ENCORE!!!
PS: ne ratez pas les ninjas sur leur skateboard volant en forme de shuriken géant! Irrésistible!