Pendant la guerre, dans une fabrique d’instruments d’optiques, la Nippon Kogaku à Hiratsuka, de jeunes ouvrières volontaires travaillent sur les viseurs d’artilleurs. Une ouvrière tombe malade, abandonne son travail, puis le reprend. Une autre se blesse, mais n’abandonne pas l’usine. Le contremaître les exhorte au travail mais se soucie également de leur état de santé. Heureusement, les jeunes filles habitent toutes ensembles dans une pension dirigée par une jeune femme entreprenante. Elle organise des matchs de Volley-ball et leur fait répéter des chorégraphies militaires. Le moral des ouvrières remonte, de même que la production. Les quotas requis sont finalement atteints.